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« Ainsi, durant la nuit, quand l’élément perfide
Gronde au pied des rochers qui bornent ce vallon,
Ils s’endorment au bruit de ce ruisseau limpide,
Errant sur le gazon.
« Et moi, ne puis-je aussi trouver un lieu propice,
Où les peines du cœur s’endorment à jamais ?
A défaut du bonheur, Vierge consolatrice,
Fais-moi trouver la paix !
« Permets, Reine des cieux, qu’après de longs orages,
Je puisse enfin goûter quelques jours de repos,
beaux comme tes vallons, doux comme tes ombrages,
Et purs comme tes eaux ! »