Page:Tardivel et Magnan - Polémique à propos d’enseignement entre M. J.-P. Tardivel et M. C.-J. Magnan, 1894.djvu/58

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 62 —

merveille ici. Voilà pourquoi, j’ai reproché si amèrement à mes compatriotes, qui jouissent d’une liberté pleine et entière en matière scolaire, de rester indifférents quand il s’agit des choses de l’éducation et de l’instruction.

En terminant, je tiens à déclarer que le jour où nos évêques ne seront pas satisfaits, au point de vue des droits de l’Église, de la situation actuelle, je serai le premier à appuyer leurs revendications quelles qu’elles soient.