la cyprine lui humecter les lèvres ; folle du
vertige sensuel, elle en poursuivit avec
amour la moindre trace, avalant tout, et
de plus en plus enfiévrée, prostrée sur ces
cuisses auxquelles elle procurait la volupté,
elle glissa la main sous ses propres jupes,
se branla quelques secondes. Mais elle se
jugeait trop surexcitée, elle n’alla pas jusqu’au
bout, se redressa et reprit place à
son pupitre. Betty devina les bonnes et
amoureuses dispositions d’Hilda ; elle pensa
qu’elle lui devait une complaisance, et, se
faufilant sous le pupitre, elle passa la tête
sous ses jupes, vers ses cuisses, aspira avec
émotion l’arôme érotisé, se fraya la route
à son nez, à sa bouche, en repoussant les
rebords du pantalon, releva la chemise,
saisit le clitoris entre ses lèvres, expédia
la langue au con, le combla de petites
minettes chatouilleuses, qui ne tardèrent
pas à amener sa jouissance.
— Oh ! dit une voix avec un profond soupir, les cochonneries recommencent dans la maison !