juste, ne me dois-tu pas d’avoir su apprécier
les caresses de Reine ! Voyons, Frédérique,
sois raisonnable, puisque maintenant
tu passes parmi celles qui veulent se
laisser faire, je te mènerai à Reine, et tu
n’en auras jamais assez.
— Approche ici, dit Hilda à Betty, je vais te fourrer une langue, et je reprendrai Frédérique, qui soupire, mais qui ne jouit pas encore. Je tiens à ce qu’elle jouisse aujourd’hui.
Promptement Betty se plaça par devant Frédérique, au-dessus d’Hilda : celle-ci, toujours agenouillée, fit volte-face, et sa langue courut toute pointue entre les cuisses de sa compagne, pour lui picoter le conin en quelques rapides léchées ; puis, voyant l’effervescence gagner les autres qui se tenaient debout, tout à côté, les jupes déjà retroussées, elle repoussa Betty et revint aux sexualités de Frédérique. Elle ouvrit sa bouche, toute grande, comme si elle allait lui avaler le con, elle le happa, brouta les poils, suça le clitoris, chatouilla d’un doigt la fente des fesses, la travailla avec une telle furie, que tout à coup elle sentit