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études, et si la précédente favorite se rangeait parmi les plus paresseuses de l’institution, en revanche Lisbeth marchait presque de pair avec Reine comme travail, intelligence, application, bonne volonté à l’étude pour les devoirs et les leçons. Et c’est de cette application que partit la première mesure annonçant que l’œuvre de la chair ne désarmait pas dans l’institution. On apprit, un beau matin, qu’avec l’autorisation de miss Sticker, Lisbeth s’adjugeait une fillette pour la diriger dans ses études et s’en servir de petite bonne à tout faire, sous le prétexte de l’habituer au travail intérieur d’une maison. À l’exemple de Lisbeth, Reine et Aline obtenaient la permission d’agir de même. Cette liberté, accordée aux trois élèves, affirmait que la puissance de Lisbeth égalait celle qu’exerça Hilda, et établissait que les animosités personnelles de la nouvelle favorite exciteraient de futurs conflits. Il n’était un secret pour personne, que Christya ne bénéficiait pas de l’avantage des trois autres, quoique fréquentant assidûment les appartements directoriaux, à cause de sa rivalité avec