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flagellation. Elle n’osait crier, de crainte de s’exposer à pire. Le duc se jeta à quatre pattes pour la saisir : l’attrapant par les pieds, il parvint à l’attirer, mais elle se débattait tellement qu’il roulait par dessus elle. Ce fut la lutte opiniâtre et sans merci. Hilda griffait, giflait, mordait, frappait avec une énergie indomptable, et il la maîtrisait avec beaucoup de peine. Mais dans ses efforts pour la dompter, dans ses heurtements de corps, dans des attouchements imprévus et rapides, il bandait, il s’échauffait, et tout à coup l’embrassant, la léchant, ivre de désir, il la poursuivit pour la posséder, jurant qu’il la laisserait dormir, dès qu’il aurait joui. Elle comprit sa sincérité, et cessant de se défendre, elle s’abandonna. La queue s’enfonça sans trop de difficulté dans son con. Les assauts du coït commencèrent ; elle en possédait l’expérience et tendait le ventre pour qu’il la baisât bien et vite : elle le favorisait de son mieux dans le va-et-vient de la queue. Il n’y avait plus là qu’un homme et une femme, collés l’un à l’autre pour produire la jouissance : et elle arriva fougueuse, ardente. Une fois de plus