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— Tu vas descendre à la salle de punitions, ta chemise déchirée par les coups de martinet dont je te régalerai le derrière et les reins.

— Ne soyez pas cruel.

— Viens sur ton lit.

L’homme a un martinet à la main ; il le lève, la fillette cède, plutôt toutes les cochonneries que d’avoir la peau abîmée par la flagellation ; elle vient sur le lit, et le corps agité de soubresauts convulsifs, ne se recule pas, quand l’homme s’étend à son côté, prend sa main, la guide vers sa queue en demi-érection.

— Allons, brandouilles cet outil, et fais que je jouisse, ou par ta main ou par ta bouche, ou de toute autre façon, si tu veux achever ta nuit en paix.

— Je ne suis pas en pension pour cet ouvrage.

— Qu’est-ce à dire ? Ne débauches-tu pas les petites filles de huit, neuf et dix ans ! Allons, allons, quand on pervertit les autres, on appartient à l’armée de luxure, et on doit obéissance aux plus forts, ma belle enfant. Secoue ma queue avec plus