Page:Tap-Tap - Passions de jeunes miss, 1907.djvu/174

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
 Les corrections sont expliquées en page de discussion
— 162 —

— S’il a grimpé, elle y passera. Il n’y a plus qu’à bien tenir la queue de la poële : Vous êtes décidée ?

— Oui, débarrassons-nous de ce lot de perverses, on verra après.

— Dites donc, et nous autres ?

— Les grandes personnes ont tous les droits : les élèves n’ont qu’à se soumettre à leurs fantaisies, sans prétendre exercer les leurs. Puis, il faut enrayer cette stupidité de favoritisme, qui place une pécore au-dessus de tout le monde, en nous exposant à de terribles dangers : il importe d’obliger miss Sticker à vendre la maison, et nous y parviendrons en la plaçant en face d’une dénonciation possible. J’achèterai avec l’argent de…

— Sir Harold et de ses amis ; vous penserez à moi.

— Tu auras de quoi vivre tranquille dans ton pays.

Quand Reine, après avoir été baisée par Harold, et l’avoir ramené à la balustrade, se faufila dans sa chambre pour y faire sa toilette à fond, elle ne fut pas que peu surprise, en ouvrant la porte, d’y voir