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fouettait très fort sur les fesses avec son machin, et par instants elle essayait de le pousser dans son derrière, voulant s’en servir comme d’un clyso. Ça lui faisait si mal qu’elle en pleurait et ne retenait pas ses gémissements, et miss n’insistait pas davantage. Elle le logea alors entre ses petites cuisses, et ça la chatouillait drôlement. Elle ne pleurait plus, mais riait, et miss satisfaite, versa de la liqueur bien sucrée et bien brûlante dans des petits verres ; elles en burent trois ou quatre et la tête lui tournait. La directrice devenait de plus en plus cochonne, et elle s’en amusait bien ; elle lui demanda de sucer le bout de son machin qu’elle avait saucé dans la liqueur, et elle le suça pour bien le nettoyer. Elles jouèrent alors à saute-mouton. Miss se mit à quatre pattes, et elle lui sauta par-dessus le dos, les épaules, et quand elle avait le derrière sur sa tête, elle lui envoyait une lichée. À son tour, elle se plaça sur les bras et les genoux, et miss lui passa pardessus ; dans cette position elle essaya encore une fois de lui donner un lavement avec son machin, mais la souffrance était