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IX
La terreur planait sur la maison. Les jours qui succédèrent à la soirée de bal, les sévérités se déchaînèrent implacables. On fouettait, on flagellait, un fustigeait pour une peccadille, comme dans les vieux temps. L’autorité de la surveillante générale surenchérissait sur celle de la directrice qui, froide, mauvaise, impassible, exerçait inspections sur inspections dans les classes et les études, s’acharnant après celles qui avaient pu surprendre le secret de son sexe. Un regard douteux croisant le sien, et quelque fût l’âge, la jeune fille,