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(75) « Le jeu de noyaux est un jeu de hasard, ils sont noirs d’un côté et blancs de l’autre ; on n’y joue qu’avec huit seulement. On les met dans un plat qu’on pose à terre, après avoir fait sauter les noyaux en l’air. Le côté noir est le bon ; le nombre impair gagne, et les huit blancs ou noirs gagnent double, ce qui n’arrive pas souvent.» (La Hontan, Mém. de l’Amérique, t. 2, p. m.)

Lafitau, t. 2, p. 340, explique, avec les développemens les plus complets, le jeu des noyaux, marqués des deux côtés, l’un noir, l’autre blanc.

Charlevoix, t. 5, p. 384 et suiv., et t. 6, p. 26 et suiv., donne de longs et curieux détails sur les jeux de hasard auxquels les sauvages américains se livrent avec une véritable passion. (p. 229)


(76) « Dotem non uxor marito, sed uxori maritus offert. » (Tacite, De Moribus Germanorum.) (p. 240)


(77) L’yard d’Angleterre est un peu moins d’un mètre, (p. 247)


(78) » Quamvis junior, quamvis robustior, alligari se ac venire patitur. »

(Tacite, De Moribus Germanorum.) (p. 251)


(79) « Nec regibus infinita aut libera potestas ; et duces exemplo potius quam imperio... præsunt. »

(Tacite, De Moribus Germanorum.)

« L’autorité d’un chef indien est loin d’être despotique... : il tient son principal pouvoir de ses qualités personnelles. » (Cooper, Les Puritains d’Amérique, ch. 23, p. 365.) (p. 254)