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(58) De malheureux Chippewas, amenés ainsi en Angleterre, y ont paru d’abord sur quelques théâtres, pour être ensuite abandonnés à la charité publique ; un prince de la maison royale vient de les faire embarquer à ses frais pour le Canada. (p. 171)


(59) Prairie Hen. C’est le tetrao urophasianus de Charles Bonaparte, sorte de grosse gélinotte nouvellement décrite et commune aux sources du Missouri : plusieurs voyageurs l’appellent à tort coq de bruyère. (p. 173)


(60) Nous n’avons découvert aucun indice sur ces. Indiens. — Les différentes tribus avec leurs subdivisions forment un catalogue immense. (p. 174)


(61) Needjee, mon ami, est un terme communément employé dans des conversations amicales, mais, comme dans notre langue, avec une certaine inflexion de voix, c’est souvent aussi une expression de menace.

( Note de l’éditeur américain. ) (p. 175)


(62) La rivière du Lac des joncs. (p. 180)


(63) « Pourquoi trouve-t-on tant de charme à la vie sauvage ? Pourquoi l’homme le plus accoutumé à exercer sa pensée s’oublie-t-il joyeusement dans le tumulte d’une chasse ? Courir dans les bois, poursuivre les bêtes sauvages, bâtir sa hutte, allumer son feu, apprêter soi-même son repas auprès d’une source est certainement un très grand plaisir. Mille Européens ont connu ce plaisir et n’en ont plus voulu d’autre. »

(M. de Chateaubriand, Voyage en Amérique.}