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restée aux Indiens, au milieu des vices de la civilisation européenne. »

M. de Chateaubriand, Voyage en Amérique, t. Ier, p. 37, édit. de i832.

Quemcumque mortalium arcere tecto, nefas habetur. Pro fortuna quisque apparatis epulis excipit ... notum ignotumque, quantum ad jus hospitii nemo discernit. Tacite, De moribus germanorum. (p. 51)


(28) La note consacrée plus loin au moose parlera du caribou. (p. 51)


(29) Rainy-lake, littéralement lac pluvieux. M. Balbi et le traducteur de Carver, avec beaucoup d’autres géographes et voyageurs, le nomment lac de la Pluie. (p. 55)


(30) Winnipeg. — Winnipie. — Ouinipeg. — Ouinipique ou winnepeck de Carver ; Owinipike de Perrin du Lac. (p. 57)


(31) Sans discuter aussi savamment que le docteur Obed Battius de la Prairie sur le buffle et le bison, nous n’avons pas cru devoir, dans cette relation, traduire le mot buffaloe par le mot correspondant de buffle. C’est à tort que ce dernier nom, appartenant à un animal bien connu, est devenu, dans le dialecte anglo-américain, d’une acception générale pour désigner le bison, bos americanus de Gmelin, bos bison d’Erxleben, bœuf illinois ou bœuf sauvage et à bosse des vieilles relations. Ce nom de bison était donné par les Grecs et les Latins à une espèce de taureau sauvage, l’aurochs, probablement, que,