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vaux, et rencontrant un de mes amis qui n’en avait pas, je lui en promis un ; mais ne se rendant pas alors chez lui, il différa de le prendre jusqu’à son retour. Dans cet intervalle, le cheval que je lui destinais vint à mourir d’un coup de sang. Il ne m’en resta plus qu’un noir, nommé par moi Mandan. Je l’aimais beaucoup, mais quand cet homme revint, je ne pus faire autrement que de le lui donner. Ma femme poussa des cris, et je ne me séparai pas, sans un vif regret, d’un cheval aussi précieux.




FIN DU PREMIER VOLUME.