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Au général des Jacobins.
De mon frère au S. de Bonnaire.
8 Novembre
Par mon neveu et sa belle mère[1]
À Dom Polycarpe, avec la lettre de St-Castor à St-Cassian.
À l’evesque de Cavaillon[2].
19 »
par l’ordinaire Paris
À M. de Lomenie.
À M. du Puy, avec l’arrest de Mad. de Crequy sur sa suppression de part du moys de juillet 1632.
Au P. Morin des Pentateuques Samaritains tritaptes et simples.
Au S. le Jay des volumes du Nouveau Testament Syriaque et arabe et de R. Salomon, avec le texte du Pentateuque des Juifs et les 3 versions Chaldée, Arabique et Persienne.
Au S. Vitray du Theophile de M. Fabrot.
Lettre de mon frère au S. Passart[3].
    Lyon À M. Menestrier.
Au S. de Rossy.


FIN.
  1. Le fils de Valavez, Claude de Fabri, baron, puis Marquis de Rians, avait épousé Marguerite des Alrics, fille de Jacques des Alrics, Sieur de Rousset, et d’Isabeau de Simiane.
  2. Fabrice de la Bourdaisière (1616-1646).
  3. On a souvent dit que tout était commun entre les deux frères, leur fortune, leur logement, comme leurs goûts, mais on n’a peut être pas fait remarquer combien Valavez aidait Peiresc à porter le fardeau de son écrasante correspondance. J’aime, en la dernière de mes notes, à signaler ce nouveau témoignage d’une des plus touchantes affections qui aient jamais existé entre deux bons frères.