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II Avril  
À M. l’evesque d’Orange, au lieutenant Arnaud, avec les lettres du S. Erycius Puteanus[1] et Vendelin[2], et le livre de Olympiades, au S. Gassendi, sur ses observations et cachet d’Ambre.
13 »  
(par son homme), au S. de la Garde, de ses œuvres[3].
14 »  
Par mon frère de Vallavez à M. de Perussis (en majuscules).
15 » (pour Venise) :
Au S. d’Avaux, au S. de La Lane, (pour Paris) : à M. le Beauclerc, à M. de Breves, au S. de Malerbe, au S. de Lomenie, au prieur de Roumoules, à M. du Puy, au S. Robin (de mon frère).
  1. Je ne trouve pas de lettres de Puteanus, adressées à cette date à Peiresc, dans ses nombreuses centuries imprimées (R).
  2. C’est la lettre du 2 mars 1628 publiée par M. T. de L. dans le Journal de Forcalquier, du 24 Juillet 1887. On en trouve aussi une copie à la bibliothèque de Nimes, dans le recueil dit de Séguier. (Cat. n° 13812) (R).
  3. Voir, dans le tome des Œuvres complètes de Malherbe. (Collection des grands écrivains de la France) une ode à de « À Monsieur de La Garde, au sujet de son Histoire sainte » (p. 285-290). Le savant éditeur, M. Lud. Lalanne, dit « On ignore si l’Histoire Sainte a jamais été imprimée. Son auteur était un gentilhomme de Provence, de la maison de Villeneuve », Serait-il impossible d’obtenir des chercheurs provençaux d’autres renseignements surtout en ce qui concerne les œuvres du correspondant de Malherbe ?