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16 | Juillet |
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19 | » | (par le muletier qui porte les hardes de la marquise d’Urfé) À mon frère avec la caissette de fleur d’Orange.
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20 | » | [pour Avignon] | À M. de Mondevergues, à M. de la Valfenière [le célèbre architecte] avec la monstre des quarreaux de Monstiers, à M. le juge d’Orange.
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25 | » | À mon frère, avec le grand cachet de Rome.
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3 | Aoust | Au S. d’Abbatia, avec deux extraicts de l’hostel de ville, au S. d’Andrault, au P. du Val, au S. de Monts.
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I | Septembre | À M. de Vris[1], à M. Ranchin le médecin, à M. Ranchin, l’advocat-général, à M. Pacius, à M. d’Abbatia, avec son certificat.
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17 | » | Commencement de ma cure par le S. Ænea[2] (en lettres majuscules).
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24 | » | À M. d’Andrault, à M. le Mazuyer, à Mess. de Maussac, de Claret, de St-Félix, Maran, d’Abbatia.
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- ↑ Fragment publié au Bulletin-Rubens I. 264 (R)
- ↑ Après avoir beaucoup cherché, j’ai le regret de déclarer que je n’ai rien trouvé sur cet Ænea, probablement un de ces médecins étrangers qui ont toujours été quelque peu à la mode chez nous. — Depuis que cette note a été écrite, j’ai appris par les lettres autographes de Peiresc à son frère que le mystérieux Ænea était un médecin italien auquel son reconnaissant client fit obtenir des lettres de naturalisation.