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29 Décembre [pour Rome]
À M. Bagni, à M. Rubens avec les vers de Borbonius pour Gevartius[1].
À M. d’Oppede, à M. d’Agut (avec livre), à mon père, à mon frère, à M. Viaz[2].


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Année 1623, que Peiresc passa encore à Paris.


5 Janvier  
À M. du Maurier, à M. Rubens[3], au Sr Bagni.
À M. d’Oppede, à M. de la Ceppede, à M. d’Agut, à mon père, à mon frère [avec] l’almanach.
6 »  
Au Cardinal Sainte-Susanne, Aleandro (offre de la lunette), Barclay (offre de 200 escus), Bonnaire, Eschinard, Sève.
12 »  
À M. d’Oppede, à M. d’Agut (avec des livres), à mon père, mon frère, [lettre] de Cramoisy à Merindol.
13 »   À M. Rubens[4].
18 »  
À M. l’Abbé de Caunes, à M. d’Oppede, à M. Ollivier, à M. Thoron, à M. Badet, à M. Venel, à M. Spagnet (sic pour Espagnet), à mon père, à mon frère.
  1. À Carpentras. Vers pour étrennes envoyés à Gaspar Gevaerts. (R).
  2. Il s’agit du poète marseillais Batthazar de Viaz, parent de Peiresc, un de ses légataires et exécuteurs testamentaires. Voir, outre le fascicule VI des Correspondants de Peiresc, qui lui est exclusivement consacré, le Testament de ce dernier, à la suite de l’étude déjà citée de M. L. Delisle sur un grand amateur français, p. 30.
  3. À Carpentras. Nouvelles de Marc Antoine de Dominis, questions numismatiques, etc. (R).
  4. À Carpentras. Nouvelles politiques, cartons de tapisseries, etc. (R).