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publiés des Correspondants de Peiresc[1]. Je laisse naturellement à M. Ruelens le soin de l’annotation en ce qui regarde les personnages des Pays-Bas tant de fois mentionnés dans les Petits Mémoires[2]. Dieu me garde de chasser sur les terres de celui qui en sait si long et qui aime tant à faire profiter ses amis des richesses de son érudition !


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  1. Les deux derniers fascicules viennent de paraître à l’instant même, le n° XV (Lettres inédites de Thomas d’Arcos) à Alger, chez Jourdan, le n° XVI (Lettres inédites de François Luillier) à Paris, librairie Léon Téchener.
  2. Le nom de Rubens surtout reparait souvent dans le journal, et c’est l’occasion de rappeler le mot de mon ami bien regretté M. Armand Basebet : « Il ne faudrait rien ignorer de la vie d’un artiste tel que Rubens, mot que M. Ruelens a si heureusement arboré, comme épigraphe, comme drapeau, en tête de son splendide Codex diplomaticus Rubenianus.