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KHI), Balzac écrivait encore à Chapelain t6 seray bien aise de voir de la prose oratoire de M. de Saint-Btancat. ï!a a da fou et de l’esprit, et M ~ecca<, imitatim &itM<Mm pecca< (i). »
On conserve, alaBiNiothëque nationale, une relation de la bataille de Rocroy et du siège de TMonviMe, sans lien ai date (de 16M probablement): ~c~nM~oo’œeM.MS, cum expugnatione 7’~eo~OMM, a!<c<m’e Joanne SaN!&&!MC<!<o (2). Saint-BIancat mourut presque en même temps que Pierre de Gazënenve et de ta même maladie, comme nous rapprenons d’un étoge de Baluze adressé a Bernard Medon Ste~Mï .Ba~M~t! 7’M~~MM~M in omtum clarissimorum viro?’M!MPeMC<MSM<w<ee< -Joannis Samblancati, qui in p~<ë ex<!MC~’
<??< NMM~ ~6~, a!<!c&)MMMt virum B~MS~MM J~<&WMM)K. Bataze et Bernàtd Medon nirent dé grands amis. Ils échangëreMbeaocoup de tettres, là Plupart écrites en latin (3). Le style de ces demeres est digne de l’éloge que le libraire Raymond iBosc donnait (Avis ant/ecMMf, en tête de ~’On~M <<esyeMa?/~eMrot<:c, Ï6S9) au style de la notice sur Pierre de Caseneuve « Je me suis advisé d’adjoaster à ce traité la vie de feu M. de Caseneuve que le sçavant M. Medon escrivit, il y a quelques années, à la prière de M. Heinsius, ayant jugé d’ailleurs qu’une histoire si recommandable par la pureté de soi latin et par l’élégance et la délicatesse de sa composition, (1) VonanMid~efs’.pa~t~sd~MMne qnej’ti pBb!M en ~?3 (MfMde.fMm Louis Guex de BatMC, in-4o, p. MO, 418, 419). On retrouvera sonvent le nom de Smnt-BtmcM.conmeceMae’ttonjat, dans les <roisw)nniesin-< de h Cmt-Mp<Xt<Mt«e<h Cta~!<MX, qui parallroIi’t Metitttaans )à CoH<c«ott itM B<)ttft))es<< <n~. <H<<’t)tf F)m<0tfe de yraMe.
(2) Catalogue de l’histoire de France, t. n, p. 20, n" 955. Voir ttae pièce de vers latins (pMKtM inédits) adressée par Saint-Btancat, en 16S2, à la reine Cnristine (MCftfMtttXixt oxsuttam.SMMorMm, CemohOH, Fantta!on<ttt <-e~m<fmMfft.t’t. <«))am), dans le Tohtme S6T de h collection dite des Armoires de BahMe, p. N-M (3) Le rédactem en chef de ta j!fMM de Cottc~M, qoi s’est spécialement ec’iapé des ëpittohutes htins.me signate oneore dacs la reeneit de Pierre Bnrmann, S~Hc~t epMtohnfm (t. v, p. 607-675). une eiBqaanOine do lettres importantes, dcrites par Medon & Nieo!~ Heintins, de tMS a M68.
