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BORDEAUX. — ROYAN.
I
Le fleuve est si beau, qu’avant d’aller à Bayonne, je suis descendu jusqu’à Royan.
Des navires chargés de voiles blanches remontent lentement des deux côtés du bateau. À chaque coup de la brise, ils se penchent, comme des oiseaux paresseux, levant leur longue aile, et montrant