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qui doit passer ; ensuite l’homme suit la pente qui le ramène dans leurs bras. Même, la moitié du temps il leur reste ; il y a si peu d’esprits qui soient serviteurs des idées pures ! Et combien peu de jeunes officiers lisent ou pensent par eux-mêmes[1]. Toutes les attaches de famille, de relations les retiennent. « Ce serait faire de la peine chez moi, j’aime mieux ne pas lire, penser à autre chose, aller dans le monde, m’amuser. »
- ↑ Celui que je voyais ici l’an dernier et qui me parlait du livre de Renan, s’accrochait à ce mot de « roman » par lequel on a essayé de discréditer l’ouvrage.