têtes et de quelques années. Cela intéresse de dix-neuf à vingt-cinq ans. Quelques gens bizarres sont pris jusqu’au bout de leur vie ; mais les autres, la masse énorme, tombe à l’instant dans la vie positive. — Mon intérêt, ma grande affaire, à moi notaire, paysan, marchand, etc., c’est de vivre, de gagner de l’argent, d’en mettre de côté, de pousser mon fils, de donner des robes à ma femme, d’acheter ce morceau de terre, etc… Donc, je dois aimer les gendarmes et les prêtres, qui protègent tous ces intérêts contre les gens dangereux et les doctrines dangereuses. Ne nous faisons pas d’affaires et grossissons notre pelote. — La seule résistance que provoque le clergé est celle que peint Rouge et Noir. — S’il gêne ma vente, s’il me prend trop d’argent pour ses quêtes, s’il s’introduit trop avant dans mon intérieur, si ses alliés les nobles m’insultent trop, si les bonnes places sont toutes pour leurs fils, alors je ferai la Révolution de 1830.