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Telle, incarnant aux yeux les divines paroles,
Chaque verrière dans l’or mystique reluit,
Comme un jardin semé d’aveuglantes corolles.

Mais l’ombre gagne et le vain prestige s’enfuit
Et les arceaux quittés n’ont plus de fleurs écloses
Pour les répandre sur la robe de la Nuit :

La sacrilège Nuit par qui meurent les Roses.