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L’âme française chante (ô que faux !) dans leurs voix ;
Ils s’arrêtent pour dégurgiter du pivois,
Tel un cabot perdu que l’on mène en fourrière.

La Victoire, aujourd’hui, leur montre le chemin
Et des boxons épars leur ouvre la barrière.
Vivat ! Le copahu renchérira demain.