Page:Tagore - Le Jardinier d’amour, 1920.djvu/98

Cette page a été validée par deux contributeurs.


LI


Finis ta dernière chanson et partons.

Oublie cette nuit puisque voilà le jour.

Qui cherché-je à presser dans mes bras ? Les rêves ne peuvent s’emprisonner. Mes mains ardentes pressent le vide sur mon cœur.

Et mon sein en est tout meurtri.