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Les fleurs de ton jardin ne tombent-elles jamais dans la poussière en douce agonie ?
Pourquoi m’appelles-tu, ô chère tourmentée ?
Laisse donc les doux yeux de l’amour veiller et pleurer en vain.
Laisse brûler ta lampe dans la maison solitaire.
Laisse le bac ramener chez eux les laboureurs fatigués…
… Je quitte mes rêves et j’accours à ton appel.