Page:Tagore - La Jeune Lune.djvu/29

Cette page a été validée par deux contributeurs.

secrètement de nectar, quand j’apporte à tes mains avides des choses douces.

Quand je baise ton visage pour te faire sourire, mon trésor, alors je comprends l’allégresse que le ciel verse avec la lumière du matin et les délices que la brise d’été apporte à mon corps, quand je te baise pour te faire sourire.