Page:Tagore - La Jeune Lune.djvu/27

Cette page a été validée par deux contributeurs.

Ah ! si je pouvais cheminer sur les routes qui traversent l’esprit de Bébé et les suivre plus loin, plus loin, au delà de toutes limites !

Là où des messagers sans message passent et repassent entre les États de rois sans histoire, là où la raison fait des cerfs-volants de ses lois et les lâche dans l’espace, là où la vérité libère les faits de leurs entraves.