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Comme la nuit garde cachée dans son ombre l’exigence de la lumière, ainsi de même dans le fond de mon inconscience retentit le cri : — C’est toi que je veux, toi seul !

Comme la tempête encore aspire à sa fin dans la paix, lorsqu’elle bondit contre la paix de toute sa force, ainsi de même ma rébellion bondit contre ton amour et s’écrie : — C’est toi que je veux, toi seul !


XXXIX


Quand le cœur est dur et desséché, descends sur moi dans une averse de clémence.