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tanée, et qu’aussi l’on ose traiter plus cavalièrement sa propre pensée que celle de celui qu’on prend à tâche de servir. Il m’a paru qu’aucune pensée de nos jours ne méritait plus de respect, j’allais dire de dévotion, que celle de Tagore et j’ai pris mon plaisir à me faire humble devant lui, comme lui-même pour chanter devant Dieu s’était fait humble.