ique à Oronte, qui l'avait entretenue tout bas.|c}}
Non, monsieur, il n'est pas nécessaire.
Qu'est-ce qu'il vous propose ?
Un seul tour de jardin,
Mais elle en fait scrupule.
Ah! c'est jouer au fin.
Vous y pouvez aller.
Je découvre la pièce.
Ce qu'il sent pour la tante il le dit à la nièce ;
Et, ne pouvant ici parler comme il l'entend,
La confidence marche.
II est persécutant. Quoi ! toujours soupçonner?
Bon pied, bon œil, ma tante.
Je ne saurois avoir l'ame trop surveillante ;
Et, comme sans dessein il ne peut s'éloigner,
Au jardin tout exprés je vais l'accompagner;
S'il raisonne, du moins je saurai qu'il raisonne.
Je ne l'entretiendrai que de votre personne,
De ce que vous valez.
Sans vanité, je croi
Qu'il est quelques barons plus mal taillés que moi.
Ce port, cette action?... Ah! ma tante très chère,
Si vous connoissiez bien tout ce que je sais,faire,...
Mais ils sortent, ma foi; je veux suivre leurs pas.
Allez avec ma nièce, et ne la quittez pas.
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