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avoir repris pied ? — La Cage en l’air, me répondit-elle.

Deuxième. — Sur-le-champ elle se lave, revient me trouver, écarte ses vêtements et met à découvert ses reins aussi nets que cristal, s’appuie sur sa tête, se met à genoux et étend de la salive sur ses parties. Alors je saisis ma verge et, après plusieurs essais et frottements, je parviens à pénétrer dans la place. Sous moi je la sentais s’agiter et j’entendais un souffle haletant bruire de ses narines. Graduellement le désir sensuel grandit chez moi : bientôt une liqueur brûlante monte et s’échappe. C’est à la Turque.

Troisième. — De nouveau l’amante vient retrouver l’amant après s’être rafraîchie. Elle arrive jusqu’à moi, excite mes appétits par d’énergiques frottements et se met encore une fois à genoux devant moi. Alors je pénètre entre ses cuisses couleur de rose, mais plus désirables encore.

— Entre lentement, me dit-elle, le gland et la verge, puis retire-les de même à toi et recommence ainsi successivement.

Je me conformai à ses instructions ; bientôt je sentis ma verge s’introduire aussi facilement qu’un doigt, et ressentis une jouissance impossible à décrire. C’est la Bouchée sans pareille.

Quatrième. — Après avoir, comme de coutume, consacré quelques instants aux ablutions, ma belle