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femme étroite, d’une femme rendue telle par la violence de ses désirs ou encore peu humide. Il en est surtout ainsi quand on a en vue l’ouverture postérieure, car alors le pénis s’introduit avec la même facilité que le petit doigt.

Le même Koran-Bey raconte ce qui suit : Un jour une femme prise de la soif du plaisir et désireuse de l’apaiser se découvre devant moi. Mais, comme on dit, le prêtre, même le plus digne n’est pas admis à entrer dans toute église ; malgré un violent effort, je ne pus pénétrer où je désirais et en restai tout surpris. Combien de nos frères, amateurs de garçons ont éprouvé cette déception ! Après plus de quarante essais infructueux j’abandonnai l’entreprise. — Il me faut, pensai-je alors, étudier tous les secrets de l’art de l’athlète, je veux dire toutes les ruses à mettre en œuvre au jeu d’amour !

Je mis ce dessein en pratique et, chaque fois qu’elle venait me voir, j’employais un nouveau procédé. Enfin, quand je devins directeur du télégraphe, nous avions employé mais en vain, tous les moyens que j’avais pu imaginer.

Comme nous étions encore une fois ensemble je lui dis : — Découvre-moi ces fesses dont tu m’as fait maître, ces fesses aussi potelées que la grasse poitrine d’une oie, d’une blancheur aussi éclatante que celle du cristal. Je les saisis de mes mains, fort occupé de savoir