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Dixième. — Debout, elle s’appuie contre la muraille ; il vient se placer, par-devant, entre ses jambes ; quand il est en érection, il enfonce chez elle son poignard, puis tous deux goûtent la jouissance. C’est la Réussie.


VII

De divers autres procédés.


Entre beaucoup d’autres, nous en mentionnerons quelques-uns, fort agréables et très usités parmi les Grecs.

L’amant se couche sur le dos, les jambes étendues ; la belle se présente et se place entre elles. De la main gauche elle saisit la verge et la caresse doucement à plusieurs reprises ; quand elle est tout à fait excitée et qu’elle se dresse par bonds comme si l’éjaculation allait se produire, elle l’introduit chez elle. Bientôt elle sent approcher le moment où son amant va jouir. — Grand bien te fasse, mon chéri, dit-elle alors ; quelles délicieuses voluptés tu me procures, mon petit cœur ! Au milieu de ces caresses la liqueur d’amour s’échappe.

Dans une autre, la belle se couche sur le dos et l’amant vient se placer sur elle ; elle le saisit à deux mains par la nuque et enserre son dos de ses jambes. Alors il place sa verge à l’entrée du vagin et, après un ou deux frottements, elle se dresse. Il entoure à ce moment de ses bras les hanches de son amante et se