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Ainsi ils jouissent des délices de l’amour beaucoup mieux qu’aucun quadrupède. C’est à la Paysanne.

Sixième. — Elle se place à califourchon sur son amant, étendu sur le dos : il s’agite sous elle jusqu’à ce qu’enfin il ait réussi à s’introduire où il voulait ; alors, au milieu des caresses, l’éjaculation se produit. C’est la Prospère.

Septième. — Elle se penche en avant, le haut du corps appuyé sur un lit ; elle met un de ses genoux sur le bord du lit, comme si elle allait y monter. L’homme se place, par derrière, entre les cuisses et pénètre chez elle de façon à ce que leurs deux toisons se confondent ; ainsi ils jouissent des délices d’une douce ivresse. C’est à la Jardinière.

Huitième. — Elle se place de même, mais les pieds appuyés à terre ; l’homme, enflammé de désirs, s’introduit là où il lui plaît. C’est la Jacinthe.

Neuvième. — Elle se met à quatre pattes, les genoux pliés. Dessous elle, il est couché sur le dos, lui faisant face, une jambe entre celles de sa belle et l’autre appuyée sur ses fesses : il pousse sa pointe et pénètre dans le vagin. C’est le Musc.

Dixième. — Elle se place sur un matelas, penchée en avant, les mains croisées sur sa ceinture, une jambe étendue et un genou plié. L’homme arrive par derrière, introduit sa verge où il lui plaît et jouit. C’est l’Eau de rose.