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humecté sa verge de salive, il l’introduit où il lui plaît ; l’éjaculation arrive enfin et ils jouissent. C’est à la Vieux.


V

En se baissant.


Première. — La femme s’appuie par-devant contre un meuble ; elle penche en avant le haut du corps, l’homme s’approche par derrière, l’entoure de ses bras et se met en lieu propice. Pour faciliter l’introduction, elle s’agite lentement ; enfin tout réussit. On rapporte que ce procédé, emprunté aux béliers, est le plus souvent mis en pratique dans le mabéïn (chambre qui sépare le harem de l’appartement des hommes.) Pour le galant vigoureux, c’est là une source d’ineffables jouissances. C’est la Repousseuse.

Deuxième. — Elle se met à quatre pattes, il s’étend sur elle et l’étreint de ses bras ; quand, par l’effet du désir sensuel, la verge est en érection, il s’éloigne quelque peu de sa belle et s’introduit dans le vagin ; bientôt, cependant, il en sort pour pénétrer dans le réduit postérieur ; puis, quand il sent le plaisir arriver, il se remet en meilleure place et il jouit. C’est l’Écartée.

Troisième. — L’homme se place sur un matelas, pose le pied droit à terre et s’assied sur sa jambe gauche repliée sous lui. La femme vient se placer