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de grâces et de coquetterie, est haletante sous lui. C’est agir à la Persane.

Neuvième. — Elle se couche sur le dos, les jambes levées, l’homme vient se placer entre elles et les met sur ses épaules. S’il est suffisamment animé, il introduit violemment sa verge ; alors la belle met toute sa science et toute sa coquetterie à se donner une bruyante respiration. On appelle cette façon la Fessue.

Dixième. — La belle s’étend sur le dos, les jambes en l’air, puis l’homme, cette fois encore, prend place dans l’intervalle ; alors elle les croise sur son dos pendant qu’elle l’étreint de ses bras et que celui-ci place ses mains sous ses épaules. Il introduit son poignard dans la gaîne et, après quelques va-et-vient, la jouissance arrive. C’est l’Associée.


II

Assis.


La femme se place sur l’homme de manière à élargir son entrée ; il y pénètre rapidement. Tous deux ont alors les genoux pliés sur un divan ou, les jambes pendantes vers la terre, sont assis sur une chaise. Le pubis de l’un et celui de l’autre se touchent, car tout a pénétré et rien ne reste au dehors ; dans cette situation, la jouissance arrive. C’est la Soulevée. Il faut, pour employer cette manière, avoir verge longue et volumineuse ; elle n’est donc pas à la portée de tout le monde.


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