Page:Tīfāšī - Le Livre de volupté, 1878.djvu/151

Cette page a été validée par deux contributeurs.
— 123 —


ment doué et commence à travailler au bon endroit.

— Comment, lui dit la dame en portant la main sur lui, il me semblait que tu étais mieux pourvu.

— C’est que j’en ai deux.

— Tu en as deux, fait-elle transportée de plaisir, eh bien, voyons ce que tu peux faire avec celui-là !

À ces mots, il continue son œuvre, mais bientôt la soif de la jouissance transporte son ardente épouse.

Mets-y les deux, s’écrie-t-elle dans l’entraînement de la passion ; en bonne terre on ensemence avec double plantoir !


FIN