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approche de ta fente un pénis semblable à une canne à sucre et tente l’introduction.

Adresse-lui, à ce moment, quelques paroles aimables, serre-le de tes bras, presse-le contre ton ventre, attire sa tête sur ton cou pour qu’il puisse flairer ta chevelure, enserre fortement ses reins de tes jambes passées autour de lui, de façon à ce que son grand doigt rencontre tes grandes lèvres ; une fois qu’il est entré, agitez-vous tous deux : ainsi vous atteindrez à la suprême volupté. Quand il va pour retirer sa verge de la porte sanglante, retiens-le de ta main gauche et fais-le rentrer. — Effendi, mon cher seigneur, lui dis-tu alors, si je me suis donnée à vous, c’est dans l’espoir du plaisir ! À ce discours, ses désirs se réveillent, une nouvelle et vigoureuse érection se produit et vous conduisez, encore une fois, votre affaire à bonne fin. Une fois sorti, tu le saisis, tu le caresses, tu frottes doucement son gland ; de nouveau il reprend force, se dresse et se lève. — Effendi, lui dis-tu, que de plaisir tu me fais en te voyant si animé. Puisque le désir te presse, pénètre de nouveau chez moi.

Excite ainsi ton mari par des paroles appropriées habilement à son caractère : — Que ne t’abandonnes-tu à ton inclination, reprends-tu, je suis ton esclave et ne vis que pour toi ! Ainsi tu lui parles, ainsi tu t’empares de son cœur.

Pendant que tu le flattes de cette sorte, regarde-le