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sieurs sorties et rentrées successives nous nous laissâmes aller à nos sensations et l’éjaculation se produisit. C’est la Prolongée.

Septième. — Cette fois, pour être mise en œuvre, elle reste debout, les épaules appuyées contre la muraille et le ventre en avant.

Elle se découvre et me dit : — Tiens-toi debout, place ton instrument de bas en haut, pose-le dans la fente de mon réduit secret aux nuances de rose ; par ce moyen fais-le aller et venir et picote-moi sans interruption.

Ainsi en usai-je ; je m’introduisis dans la fente, me soulevai et me baissai alternativement comme fait un cordier et, me comportant ainsi, je me sentis enfin jouir. C’est à la Pinceuse.

Huitième. — Cette fois, quand je sentis l’éjaculation approcher, je retirai ma verge alors de la couleur de la rose, puis, quand elle eut repris de la force, je me satisfis. C’est la Mystérieuse.

Neuvième. — Elle s’approche de moi, je me couche sur le dos, les jambes étendues ; elle s’assied sur moi et me fait pénétrer chez elle. Puis, tout doucement, elle tourne sur elle-même, me montre le dos et se penche en avant. Au bout d’un moment passé de la sorte je me sentis jouir. Cela se nomme la Perle.

Dixième. — Le savant homme dont nous avons déjà parlé, Koran-bey, raconte ce qui suit :