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s’avance vers moi. Grâce à ses caresses et à ses amabilités me voici bientôt en état d’agir. Elle me présente encore une fois le derrière, l’humecte de salive et me recommande de ne point mouiller ma verge. Aussitôt je la sors, assaille mon amie et j’essaie de pénétrer ; mais je ne pus y parvenir que petit à petit et avec difficulté. Ainsi je me sentis jouir du même plaisir que si je déflorais une vierge, ainsi nous fîmes l’amour et j’obtins l’éjaculation. Je ne sais pas de meilleure façon, aussi l’appelle-t-on en Connaisseur.

Cinquième. — Après un moment de repos et la purification accoutumée elle s’approche de nouveau, se penche et s’appuie sur ses genoux et sur ses mains. — Mouille d’abord ton gland de salive, me dit-elle, puis frotte-le tout doucement entre mes grandes lèvres ; ensuite force vivement la porte. Ainsi j’en usai et, quand je sentis l’éjaculation prête à se produire, je pénétrai tout à coup à l’intérieur et mis ainsi fin à mon entreprise. C’est le sans Vergogne.

Sixième. — De nouveau elle se passe à l’eau et prend un instant de repos, puis elle retourne auprès de moi. Elle se pose sur les mains et les genoux et se mouille. Alors je saisis ma verge, l’appuie contre sa fente et l’y fais pénétrer tout entière.

— Quand tu sentiras approcher le moment de jouir, me dit-elle, sors puis rentre ensuite.

Je me conformai à sa recommandation ; après plu-