Page:Sylva - Les Pensées d'une reine, 1882.djvu/98

Cette page a été validée par deux contributeurs.


III


Les cheveux blancs sont les pointes d’écume qui couvrent la mer après la tempête.


IV


L’amour, la haine, la jalousie, le sort sont aveugles ; à la justice on bande les yeux ; il faut donc sortir de la vie pour y voir.


V


Si vous pouviez, du temps que vous gaspillez, faire une aumône à ceux qui savent l’employer, combien de mendiants seraient riches !