tre, Illuſtriſſimo Bickerſtaffio Aſtrologiæ Inſtauratori, &c. M. le Clerc, en citant mes Predictions, dans un Traité qu’il a mis au jour l’an paſſé, a la bonté de dire, Ita nuper Bickerſtaffius, magnum illud Angliæ Sidus, &c. Un autre Profeſſeur d’une grande Réputation ſe ſert de ces termes en parlant de moi : Bickerſtaffius, nobilis Anglus, Aſtrologorum hujuſce ſeculi Princeps. Et le Signor Magliabecchi, Bibliothecaire du Grand Duc, m’a écrit une grande Epitre toute remplie de Complimens & d’Eloges. Il eſt vrai, qu’un fameux Savant d’Utrecht, Profeſſeur en Aſtronomie, ſemble differer de moi dans un point ; mais, il s’exprime avec toute la Modeſtie, qui eſt naturelle à un vrai Philofophe : Pace tanti Viri dixerim : &, page 55, il paroit rejetter toute la faute ſur l’Imprimeur en quoi il a raiſon : vel forſan Error Typographi, cum alioquin Bickerſtaffius Vir doctiſſimus, &c.
Si M. Partrige avoit ſuivi cet exemple, il m’auroit épargné la peine de faire mon Apologie d’une maniere ſi publique. Je puis dire, ſans vanité, que je ſuis l’homme du monde le plus prêt à reconnoître mes Mépriſes, & le