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JUSTIFICATION
DE
M. BICKERSTAF, Ecuïer,
contre ce qui lui a été objecté par
M. PARTRIGE
dans ſon ALMANAC pour l’Année
courante 1709 ;
courante 1709 ;
Par le dit
ISAAC BICKERSTAF, Ecuïer.
Partrige a trouvé bon, il y
a quelque tems, de me traiter de la maniere du monde
la plus rude, dans l’Ecrit,
qu’il apelle ſon Almanac pour l’Année préſente. Un pareil Procédé ne
convient en aucune maniere à des Gens de
Lettres, & ne contribue rien à la dé-