Page:Swarth - Octobre en fleur, 1919.djvu/55

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
47
solitude.


L’arôme de l’amour flottant sur la fougère
Trouble mon cœur ému de son isolement.
Dans l’ombre des sous-bois où je vais seule et fière,
J’ouvre mes bras en vain vers l’idéal amant.