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hélène swarth.


Il ne reste qu’un peu d’écume
Du trop beau château de mon âme
Et du foyer, au lieu de flamme,
Un peu de cendre, vois, qui fume.

Vois mes deux mains vides se tendre
Vers le beau château qui s’écroule.
Un peu de sable qui s’écoule,
Un peu d’écume, un peu de cendre…