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hélène swarth.


Les rayons blonds de tes cheveux,
L’humide azur de tes yeux bleus.

Ô doux Amour ! Amour trop cher !
Sens-tu la brise de la mer ?

Adieu ! J’entr’ouvre mon manteau.
La mer sera ton grand tombeau.

Tu dormiras, Amour trop cher,
Dans les bras glauques de la mer.