Page:Swarth - Octobre en fleur, 1919.djvu/160

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
152
hélène swarth.


Viens, j’oserai, moi, si tu n’oses,
Dire à mes morts aimés pourquoi
Je leur reprends ramiers et roses.
Prends-les, chère âme, ils sont pour toi.