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souvenances.


Oh ! le soleil joyeux ! les pâleurs d’agonie
Et nos pas lents et las sur le sable et la mousse !
Oh ! ma soif de baisers, de bonté simple et douce
Et mes efforts touchants vers l’ultime harmonie !

Et c’est toi qui n’as pas voulu dans ta demeure
Mon dévoûment de femme et mes doux yeux qui cèdent.
Et je ne sais pourquoi tes grands yeux verts m’obsèdent,
Car ce n’est plus sur toi mais sur moi que je pleure.